Ogara au solarium .....

J'arriva dans le solarium à vitesse grand V. Ogara semblait anxieuse, et toujours aussi surprise. Elle se demandait ce que, cette-fois, il y avait de surprenant dans cette salle. Je la plaça dans une espèce de cabine fermée par des cordes tout autour. J'enferma Ogara la dedans, et, curieusement, elle ne dit rien. J'accionna la machine, et, aussitôt, des rayons apparurent sur le dos d'Ogara. Cela dura cinq minutes environ, puis une sonnette se fit entendre. Je sursauta presque autant qu'Ogara, qui, elle rua puis se cabra de toute sa hauteur. Heureusement, la cabine était fait pour cela, et la hauteur du plafond était largement supérieur à la hauteur d'Ogara, même lorsqu'elle se cabrait. Passé cet incident, je lui repassa sa longe, et la ramena au box.

Ogara semblait contente d'être mouillée, mais malgrè tout, étant donné que je ne voulait pas qu'elle soit malade, je la sécha. Je la fis entrer dans le solarium et replaça les cordes. Ensuite, j'actionna la machine, et elle se mit à sécher. Quand la sonnette retentit, pour annoncer la fin du séchage, Ogra était entièrement séche. J'admirais son poil briillant, comme un miroir et ses reflets bleu-gris. Une fois séche, je lui mis une couverture et la ramena au box .....

Je passai dans la piéce d'a coté, où la chaleur régnait. J'ouvris les cordes, fit entrer Ogara dedans, puis les refermai. Ensuite, j'actionnai la machine. Celle-ci était tres haute, pour éviter que lorsqu'un cheval se cabre, il ne se fracasse pas le crâne contre le solarium ..... Soudain, la sonnerie m'arreta de rever. Je réouvris les cordes, cette fois-ci, fit sortir Ogara, puis referma les cordes. Ogara était maintenant complétement séche, et son poil brilla au soleil lorsque je la sortis. Je regrimpai sur son dos, puis, au trot, nous regagnâmes les écuries .....

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