Ogara aux prés .....

J'arriva aux prés, et laissa Ogara sentir les odeurs des autres chevaux. Puis je pénétra à mon tour dans le pré et la lacha. Aussitôt, elle s'élança sur la prairie, s'arreta, puis repartis de nouveau.
Entre temps, j'alla me promener un peu avec Willy. Je le laissa renifler un peu partout. Puis, environ une demi-heure aprés, je revins au pré chercher Ogara. Elle leva la tête lorsque j'arriva, remuant mollement la queue, des brins d'herbes tombant de sa bouche ouverte. Puis, elle trotta prestement vers moi, puis j'entra dans l'enclos, et lui passa la longe. Ensuite, je la ramena aux écuries, où de la paille bien chaude l'attendait.

Etant donné que la séance en longe avait été un peu épuisant pour Ogara, je décida de la libérer un peu, pour qu'elle se dégourdisse les jambes. Dés qu'elle vit les prés, elle hennit joyeusement, et elle " se cabra de joie " lorsque j'entra avec elle dans le pré et la lacha. Comme je me doutais de cette réaction, je la lacha, et m'écarta promptement. Et, en effet, elle se cabra si haut qu'on aurais pu croire qu'elle voulait toucher le soleil avec ses antérieurs. Donc, ensuite, je m'éloignai vers les apartements en lui adressant

- " Je reviens te chercher dans un petit moment !! Profites du soleil !! "

Un bon moment aprés, une heure exactement, je revins chercher Ogara pour la ramener au box. Lorsqu'elle me vit, elle hennit joyeusement, puis trotta vers moi. Je pénétra dans le pré avec elle, et la caressa longuement. Puis soudain, elle se cabra sanbs raison, et je ma précipitai sur la barrière pour l'éviter. Heureusement, les barrières étaient en bois, et je pus facilement grimper et sauter à l'extérieur du pré. Puis, je cherchai à identifier la raison de ce soudain changement d'humeur. Et je trouvai : une guèpe avait piqué Ogara à la croupe, se qui, à mon avis, l'avait faites souffrir !!! Donc, j'attrapa la longe que je lui avait passé quelques minutes avant l'incident, et examina la plaie : la guèpe avait due faire mal à la jument que lorsque le dard était rentré dans la peau. En effet, elle ne semblait plus avoir mal. Donc, aprés cet incident, j'ouvris la barrière du pré et la sortit de l'enclos. Ensuite, je voulus la monter à crue, mais, visiblement, elle avait du se rouler dans le pré, car ses flancs étaient maculés de boue. Je décida donc de passer par la douche pour faire prendre un petit bain à ma jument !!

Ogara semblait heureuse d'aller un moment au pré, j'entra avec elle dans le rpé, puis lui ota la longe et aussitot, elle partit en courant ... Je reviendrais dans un momenbt le chercher ....

Aprés quatre bonnes heures au pré, je vins chercher Ogara. Je portai deux doigts à ma bouche et sifflai. Aussitôt, un hennissement me répondit, et Ogara sortit des hêtres et des sapins qui se trouvaient au fond du pré. Arrivé à la cloture, elle hennit une deuxième fois. Alors, je m'avançai, et lui tendis une pastille à la menthe, qu'elle happa goulumment. Je sautai ensuite la barrière, me hissai sur son dos sans selle ni filet, et, des genous, la talonnai. Celle-ci pris aussitôt le triple galop, et, dans le silence du soir, je fis une course avec moi-même, car, dans cet envirronnement, on faisait vraiment corps avec sa monture ; ressentant une sensation de bonheur. Puis, au bout de dix bonnes minutes d'intense relaxation, j'effectuai un demi-tour, ouvris la barrière de l'enclos, tout en restant à cheval, et regagnai les écuries .....